Le Dr Chraïbi qui avait témoigné lors d’un reportage sur France2, a été suspendu de ses fonctions. Militant pour la légalisation de l’avortement au Maroc, ses paroles n’ont pas fait que des heureux. Un mouvement d’internautes s’élève sur les réseaux sociaux pour le soutenir. Il réagit sur Chaîne Inter.
Le ministre de la Santé aurait suspendu le gynécologue Chraïbi de ses fonctions, suite au reportage de France 2 concernant l’avortement au Maroc. Cause ? Pas d’autorisation de tournage au sein de l’hôpital.
Condamnée pour avoir aidé une Tunisienne à avorter, la Marocaine Soumia Mansouri fait appel en se basant sur une «erreur de preuves».
L'Association de lutte contre l'avortement clandestin (AMLAC) a annoncé qu'un médecin généraliste avait été arreté au Maroc pour pratique illégale de l'avortement. Il risque jusqu'à 5 ans de prison.
Les Marocaines seront-elles nombreuses pour réclamer leurs libertés sexuelles, mercredi prochain devant le parlement ? Amnesty a lancé un appel au sit-in. L’ONG demande aux autorités marocaines l’abrogation de plusieurs articles du code pénal qu’elle juge discriminatoires à l’égard de la gent féminine. La réaction de Mustapha Ramid n'a pas tardé, le ministre promet de nouveaux amendements pour
Le procès d’Aziz Lahlou, un médecin de la ville de Meknès poursuivi pour pratique d’avortement, suit toujours son cours. Le gynécologue condamné le 6 juin dernier par le Tribunal de première instance à dix ans de prison passe devant la Cour d’appel. Ses avocats ont soulevé le problème qui entoure la question de l’avortement hier durant l’audience au Tribunal. L’affaire risque de créer des
Au Maroc, 1400 avortements clandestins seraient pratiqués au quotidien. C’est ce qu’affirme en tous cas une association de lutte contre l’avortement clandestin au Maroc, citée aujourd’hui par le quotidien Akhbar Al Youm. Un chiffre qui semble surréaliste. Explications.
Après s’être attaquées à la polygamie et l’héritage, les femmes de l’USFP ont abordé un autre sujet sensible. Elles se sont prononcées en faveur d’une légalisation de l’avortement au Maroc. La recommandation figure sur la déclaration finale de leur 7ième congrès.
Le nombre de médecins condamnés pour avoir pratiqué l’avortement clandestin va crescendo au Maroc. Pour preuve, au cours de ces cinq derniers mois uniquement, au moins cinq praticiens ont été incriminés. Face à cette situation, le président de l’Association marocaine de lutte contre l’avortement clandestin (AMLAC), Chafik Chraïbi, a tiré la sonnette d’alarme et appelé à la mobilisation pour