A Casablanca, le service de psychiatrie et d’addictologie de l’hôpital Cheikh Khalifa Ibn Zaid accueille des personnes sujettes à des burn-out, des dépressions ou des addictions. De la simple consultation à l'hospitalisation, tous les âges et les milieux sociaux s’y côtoient. Reportage.
C’est ce qu’on pourrait appeler l’effet post-ramadan. En plus de ne pas boire ni manger, bon nombre de patients atteint de maladies mentales graves ont décidé, contre l’avis de leur psychiatre, d’arrêter leur traitement médical durant le mois sacré encourant de graves risques pour leur santé mais également pour leur entourage.