Le PJD exige du wali de Bank Al Maghrib des réponses claires sur le retard pris pour l’entrée sur le marché marocain des banques islamiques. Le président du groupe des représentants de la Lampe s’interroge sur les raisons de ce retard.
L’agence de notation américaine Standard and Poors a relevé, hier, la note du secteur bancaire marocain. La politique active de Banque Al Maghrib et le faible taux d’endettement des acteurs économiques du royaume ont participé à cette amélioration. Cependant, l’instabilité de l’économie marocaine maintient le risque à un niveau élevé.