Entre marginalisation, recherche d’une société meilleure ou d’une reconnaissance de leur identité religieuse, les motifs de départ des djihadistes, français en l’occurrence, sont multiples. Car tous n’ont pas le même objectif.
Grâce aux techniques de neuroimagerie, une étude menée sur de jeunes marocains a démontré que ces derniers seraient plus enclins à se radicaliser s’ils subissaient une forme d’exclusion sociale.