A l’école marocaine, désormais, on tabasse, on viole, on cogne, on se cogne, se fait mal, entre élèves, entre enfants… De quoi ces coups portés et ses injures proférés sont-elles le nom ?
Suite de la déferlante islamophobe, le CCIF a été saisi par la jeune femme victime d’un contrôle d’identité musclé par la police à Trappes, à la suite duquel son mari a été molesté et mis en garde à vue pour avoir osé s’opposer à la violence et aux provocations des policiers. Voici son récit.
Trois ressortissants marocains sont actuellement entre les mains de la justice, à Agen, pour avoir proféré des insultes racistes à deux femmes et violemment frappé un homme à cause d’une cigarette. Leur procès devait avoir lieu ce vendredi matin, mais il a été renvoyé. Pour cause, le parquet ordonne une expertise psychiatrique.
Bien qu’on ne puisse retirer leurs parts de responsabilités dans les incidents du "jeudi noir de Casablanca" suite au match de foot Raja versus FAR, il est essentiel de rappeler que ces jeunes supporters sont les premières victimes d’un système d’enseignement totalement défaillant, tant sur le plan académique que morale.
«Il en a fallu du temps !», pouvait se dire Nordine Saidi. Pendant ces quatre dernières années, il a dû faire preuve de patience. Aujourd’hui il en récolte les fruits. Après avoir été copieusement insulté et tabassé par un policier en 2009, il a engagé une poursuite judiciaire. La justice belge lui donne raison.
Des centaines de personnes ont formé une chaine humaine devant le Parlement et le palais de justice à Rabat, samedi dernier, pour protester contre les violences faites aux femmes. Des témoignages poignants ont accentué les revendications, mais les femmes Pjdistes étaient les grandes absentes.
Les professeurs d'universités risquent bientôt de perdre leur autorité, si celle-ci ne l'est pas déjà. Les actes de violences se multiplient dans les facultés du pays et l'OMDH monte au créneau et en appelle à la réactivité du gouvernement.
La rentrée sociale a bien commencé. Chômage, précarité et des décisions parfois inopportunes des autorités, comme ce qui s’est passé à Sidi Ifni, sont autant d’éléments qui mettent facilement le feu à la poudrière.
Le Centre pour l’Egalité des femmes œuvrant dans les questions de droits des femmes sous les aspects juridique, politique ou encore économique lance une campagne de sensibilisation contre le port du voile des jeunes filles. L’organisation marocaine fustige vigoureusement le foulard en le décrivant comme «une forme majeure de violence envers les enfants».