Certaines figures du salafisme au Maroc devraient prendre part aux législatives du 7 octobre sous les couleurs de trois partis : l’Istiqlal, le Mouvement démocratique et social et Renaissance et vertu. La présence d’anciens détenus pour terrorisme serait également souhaitée par les Etats-Unis. Explications.
Au Maroc la politique n’a pas de logique. Un chiite, un salafiste et un islamiste, un ancien exilé, décident de rejoindre un parti créé par un ex-commissaire de police.