Aïcha Bent Abi Ziane, Mamat Al Farkhania, Aïcha Al Ouarghalia, Haddhoum Bent Al Hassan, Itto Ou Hammou Zayani, Aïcha Al Amrania, Daouya Al Kahli, les femmes d’Ait Atta, ou encore les Zemmouriyates. Autant de femmes ayant joué un rôle crucial dans la résistance menée contre les forces coloniales. Selon la chercheuse Assia Benadada, plusieurs noms de femmes avaient été volontairement écartés de l’histoire officielle
Dans une autre ère, le Maroc, l’Algérie et la Tunisie actuels constituaient une entité unie de sites historiques, ce qui dénote d’un passé politique commun qui remonte jusqu’aux Phéniciens (Xe siècle av. J.-C. – Ve siècle).
Dans une chronique paru dans les colonnes de Today’s Zaman, Bülent Kenes peste contre la «démocratie de façade» qui prévaut dans les pays du Maghreb et du Moyen-Orient. Le Maroc est dans la ligne de mire du chroniqueur notamment dans un paragraphe où il est cité que «le Royaume aurait été dirigé comme une propriété personnelle par les trois derniers Rois». Suite à cet article,