Le directeur du BCIJ, Abdelhak Khiame, ne comprend pas pourquoi les autorités françaises n’ont pas alerté le Maroc sur le comportement extrémiste du terroriste franco-marocain.
Des affrontements autour du «camp Dakhla» se poursuivent encore entre des hommes armés et des membres du Polisario et de la gendarmerie algérienne.