Déclassée malgré avoir été première à la suite de son audition pour le poste de direcrice du Centre Jacque Berque (CJB) à Rabat, la géographe Chadia Arab, chercheuse au CNRS, est soutenue par son université et son laboratoire de recherche au sein du Centre. L’UMR-ESCO soupçonne une discrimination sur la base de la binationalité.
Première au concours pour le poste de directrice du Centre Jacques Berque (CJB) à Rabat, l’universitaire et chercheuse franco-marocaine Chadia Arab s’est trouvée déclassée sans explications, au profit du candidat arrivé deuxième. Une pétition a été lancée pour interpeller les ministères français de tutelle.
L’émission spéciale MRE, présentée par Mohamed Ezzouak, est le fruit d’un partenariat entre Radio 2M et Yabiladi.com.
Les deux hémicycles ont tour à tour abordé la politique migratoire, un peu plus d’un an après l’adoption de la loi asile et immigration en septembre 2018, qui avait déjà fait l’objet de vives critiques de la part des ONG et de certains députés, y compris au sein de la majorité.
L'ouvrage «Dames de fraise, doigts de fée», de Chadia Arab, fait l'objet de l’émission hebdomadaire «Faites entrer l’invité», de Radio 2M en partenariat avec Yabiladi.
Récemment paru aux éditions En Toutes Lettres, Dames de fraises, doigts de fée est le résultat d’une enquête sur plusieurs années, où la chercheuse Chadia Arab a accompagné l’évolution de saisonnières marocaines travaillant dans le sud de l’Espagne.
Pourquoi les Marocaines sont-elles considérées au mieux comme des filles faciles et au pire comme des prostituées dans les pays arabes et en particulier dans les pays du Golfe ? Yabiladi est revenu aux origines d’un stigmate qui fait vendre dans les boîtes de nuit de Dubaï.