Ce vendredi, le président français Emmanuel Macron a donné les grandes lignes du projet de loi contre le séparatisme. Clamant que le pays a créé son «propre séparatisme», il propose d’étendre certaines mesures restrictives aux délégataires du service publique ou encore aux associations. L'islam est particulièrement visé.
Le séparatisme en Espagne est certes plus prononcé en Catalogne et au Pays-Basque, mais une petite formation d’extrême gauche promeut «une république de l’Andalousie». Un territoire qui intègre le nord marocain.
«En tant que démocrates et femmes et hommes de gauche marocains, nous défendons les droits humains dans leur intégralité au Rif, au Sud oriental, au Sahara, dans toutes les régions du Maroc et dans le monde entier, quand nous soutenons des camarades de principe partout sur terre.»
Les saisies de drogue au Maroc et en Espagne vont crescendo. Les craintes des liens entre les groupes terroristes et le trafic de drogue sont à l’origine de ces opérations. A ce facteur s’ajoute une donne strictement marocaine : éviter que l’argent du cannabis bénéficie aux entités séparatistes rifaines basées aux Pays-Bas.