En riposte à des «déclarations hostiles» au Maroc faites par le vice-président de la Commission européenne chargé de la Migration, Margaritis Schinas, Rabat a réaffirmé la marocanité de Ceuta et Melilla. Une précision qui a soulevé l’ire en Espagne.
A quelques semaines des élections du 28 mai, le gouvernement que préside Pedro Sanchez fait face à une pression des médias de droite et d’une compagnie pétrolière pour ouvrir une enquête sur les présumées «exportations» marocaines de diesel russe vers le marché espagnol.
Après The Wall Street Journal, c’est au tour de l’agence de presse Bloomberg d’affirmer que le Maroc représente une bouée de sauvetage pour les exportations russes de diesel, frappées de sanctions par l’Union européenne