Dans le cadre de leur mise à niveau aux standards internationaux, les entreprises marocaines mettent le paquet sur les ressources humaines. Rajeunissement des effectifs, recherche de profils adaptés à l'économie digitale, fidélisation de collaborateurs de plus en plus mobiles, et implication dans le social sont les nouveaux maîtres mots de la profession.
Salaheddine Mezour n’est pas satisfait des réalisations du gouvernement dans le secteur de l’emploi. Une position qu’il a exprimée hier à Casablanca devant des membres de son parti et des invités. Le président du RNI effectue, ainsi, son retour sur la scène politico-médiatique.
Si le Maroc a connu une réduction sensible de la pauvreté grâce à des programmes volontaristes tels que l'INDH, les perspectives mondiales à l'horizon 2030 sont moins encourageantes.
Malgré les critiques, le ministre de l’Emploi PPS continue de défendre le texte autorisant le travail des mineures de 16 ans ou plus. Du côté de son parti, son leader tente de trouver une issue de secours à même d'extirper le PPS de la position dans laquelle il est englué depuis le 9 mai.
Les députés de la majorité gouvernementale autorisent, désormais, le travail des mineurs. Néanmoins, ils ont réussi à introduire des amendements au texte initial adopté par le cabinet Benkirane en mars 2013.
La finance islamique en est à ses débuts en France notamment avec Noorassur, la première entreprise d’assurance halal dans l’Hexagone. Dans un entretien avec Yabiladi, la fondatrice, Sonia Mariji, revient sur l’apport de la finance islamique dans l’économie française et se confie sur ses plans pour son pays d'origine.