C’est un rapport alarmant dont les décideurs du monde ont reçu le résumé lundi. Le GIEC prédit l’accélération du phénomène et la montée des eaux dans les prochaines années. Le Maroc est plus que concerné par ce fait et le GIEC estime que «le défi de Rabat est de faire face à la montée de l’eau». Cependant, un scientifique marocain met un bémol au
Les autorités de la ville de Tanger ont procédé à la construction d’un canal d’évacuation des eaux usées vers la plage et en plein air. Les membres de la communauté des écologistes du Maroc, qui ont découvert le fait, s’indignent et dénoncent un «scandale». La santé des citoyens en danger.
Le Haut-Commissariat aux Eaux et forêts travaille actuellement à la légalisation des activités des «charmeurs» à la place Jemaâ el Fna, qui exposent souvent illégalement des espèces protégées. Selon l’institution, cette orientation est légitime car la pratique fait partie de la culture marocaine. Les défenseurs de la cause environnementale dénoncent une «solution de
L’environnement n’est pas du tout au top des priorités du gouvernement du Maroc. A en croire le dernier rapport de l’Indice de performance environnementale (IPE) 2012) publié par deux grandes universités américaines, le Maroc a dégringolé de 53 places. Il n’est classé que 105ème dans le rapport.
Chaque année, le Maroc paie des milliards de dollars pour importer du pétrole ou du gaz de l’étranger. Et si la solution pour faire économiser de l’argent au royaume était les algues marines du pays pour fabriquer un biocarburant troisième génération qui pourra remplacer les énergies fossiles ? Un centre de recherche marocain à Rabat y travaille sérieusement depuis un an.