Le Maroc commémore, le 11 septembre, l’anniversaire de la disparition du martyr Allal Ben Abdallah, figure saillante de la résistance nationale. Par un geste d'une bravoure inouïe et au prix de sa vie, le martyr avait su illustrer l’insoumission de tout un peuple, alors sous le joug du colonialisme.
A l’occasion de la Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l’Holocauste, une ONG organise simultanément à Genève, Washington, New York et Tirana une cérémonie qui met à l’honneur des musulmans ayant contribué à la protection des juifs pendant la Seconde Guerre mondiale.
Contrairement à l’USFP et l’Istiqlal qui tiennent à honorer la mémoire de leurs chefs historiques respectifs avec à la clé des conférences internationales et des invités de marque, le PJD a opté pour la discrétion pour commémorer le premier anniversaire du décès de Abdellah Baha.
La commémoration d’Anoual de cette année pourrait connaitre des affrontements entre activistes rifains et forces de l’ordre. Les premiers ont annoncé le projet de protestation sur le lieu de la bataille alors que les autorités veulent réserver exclusivement le site au Haut-commissariat aux anciens résistants et anciens membres de l'armée de libération pour organiser une cérémonie. Ce sont deux lectures de
Le 29 février 1960, Agadir fût frappée par un tremblement de terre. 55 ans plus tard, la commémoration du triste événement a été sauvée par la présence d’un imam, d'un rabbin et d'un prêtre. Ensemble, ils ont prié pour la paix et la tolérance. Une cérémonie a été organisée en hommage aux victimes dans un cimetière musulman de la ville qui a failli tomber