Après la France et la Belgique, l’Italie s’apprête à son tour à interdire le port du voile intégral dans les lieux publics. Une commission parlementaire a fait un premier pas dans ce sens, en attendant que le parlement se prononce en septembre. A l’origine de ce texte, Souad Sbaï, une députée italienne de droite d’origine marocaine.
Ce devait être la première comparution devant un tribunal, de femmes portant le voile intégral. Mais l’audience s’est déroulée en l’absence des accusées, au nombre de deux. La première ne s’est pas présentée alors que la seconde a été empêchée d’entrer dans le tribunal, après avoir refusé d’enlever son voile. Le ministère public a requis une
La loi française interdisant le port du voile intégral dans les lieux publics continue de faire parler d’elle. La prochaine étape sera peut-être la Cour européenne des droits de l’Homme qui vient d’être saisie par un couple français, qui a quitté la France après l’entrée en vigueur de cette loi en avril dernier, estimant que ses libertés n'y étaient plus garanties. Cette famille
Plusieurs femmes sont sciemment descendues dans la rue voilées de la tête au pied pour braver la loi du 31 octobre 2010 sur l’interdiction de dissimuler le visage dans l’espace public. Elle entre en vigueur aujourd'hui, lundi 11 avril. Premières provocations
La loi interdisant le port du voile intégral dans les lieux publics, en France, entre en vigueur le 11 avril. Le monde associatif se divise tout en soutenant les mêmes valeurs. L’association «Touche pas à ma Constitution» et l’association «Ni putes ni soumises» s’impliquent très concrètement face à cette loi : la première condamne et la seconde soutient.
En France, conduire avec un niqab est légal. Mais le port des signes religieux est interdit à l’école. Cette semaine, la justice française a rendu deux décisions se rapportant à l’affichage des signes religieux. Une relaxe et un licenciement validé sur fond de désaccord sur le port du voile. Au-delà de ces deux verdicts, l’application de la nouvelle loi sur l’interdiction de la dissimulation en public risque
Un mois de prison avec sursis, c’est la peine infligée par le tribunal correctionnel de Paris, jeudi 4 novembre à l’enseignante retraitée qui avait agressé Shaika, une jeune émiratie de 26 ans voilée d’un niqab. Marlène, ancienne professeur âgé de 63 ans était accusée de «violences aggravées».
En février dernier, Shaika, touriste émiratie se fait agresser dans un magasin par une sexagénaire retraitée, parce qu’elle porte un niqab. La jeune femme a décidé de poursuivre son assaillante pour «violences aggravées», mais dans une société française où la loi condamnant le port du voile intégral vient d’être promulguée, on se demande si la législation deviendra le
Le Sénat français a adopté le projet de loi visant à interdire la dissimulation du visage dans l'espace public. Dans la ligne de mire de ce projet de loi définitivement approuvé par le Parlement, le port du voile intégral et du niqab. Le texte ne pourrait cependant pas être promulgué avant d’être validé par le Conseil constitutionnel, qui a un mois pour se prononcer.
La chambre basse du parlement français a adopté ce mardi en première lecture, le projet de loi portant sur l’interdiction du voile intégral dans les espaces publics. Alors que l’opposition de gauche a boudé le scrutin, des voix n’ont pas tardé à s’élever contre le texte qui n’attend plus que sa validation.