La ville de Salt (province de Gérone en Catalogne) a vécu la semaine dernière, des incidents entre immigrés et autochtones. A l’origine de ces accrochages, le sentiment d’insécurité croissant chez certains habitants "autochtones" de la ville face aux étrangers. Cette municipalité est peuplée de 31.000 habitants dont près de 43% sont d'origine étrangère. Les autorités communales et les représentants des immigrés ont tenu une réunion à l’issue de laquelle, les deux parties
"La Journée Sans Immigrés" (LJSI) qui s’est déroulée le 1er mars sur l’ensemble du territoire français et dans d’autres pays européens, n’a pas eu le succès escompté, surtout en matière de mobilisation. Les immigrés, enfants d’immigrés et les personnes conscients de l’apport de l’immigration en France étaient conviés à cesser de consommer et de travailler pendant 24 heures.
Le collectif "24 heures sans nous" a présenté lors d’une conférence de presse le 24 février à l’Assemblée nationale, "La Journée Sans Immigrés" (LJSI) qui se tiendra le 1er mars 2010 en France. L’objectif est de faire prendre conscience de l’apport de l’immigration à la société française.
Des associations de Marocains résidant en Espagne ont dénoncé "la campagne de harcèlement" menée par la police catalane contre les immigrés marocains dans les différentes localités et villes de la communauté autonome de Catalogne.
Une bataille rangée a opposé mercredi après-midi, plusieurs dizaine d’immigrés marocains aux Mossos d'Esquadra (police de la Catalogne) dans la ville d’El Vendrell (province de Tarragone) d'après plusieurs médias ibériques. Bilan, des blessés dans les deux camps, ainsi que des arrestations d’immigrés.
Les salariés français descendants d'immigrés sont moins payés que ceux dont les parents sont nés avec la nationalité française, selon une étude de la direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (DARES), parue le mardi 16 février. L’écart est plus important quand s'ils descendent d'immigrés africains.
Les Associations hispano-équatorienne Rumiñahui et celle des travailleurs immigrés marocains en Espagne (ATIME) se sont félicitées aujourd’hui, de l’abandon par Torrejón de Ardoz (Communauté de Madrid), des mesures visant à refuser le recensement des immigrés sans papiers. Torrejón de Ardoz avait donc emboité le pas à Vic, localité catalane à l’origine du projet.
Les immigrés d’Espagne ne seront plus des proies pour des manœuvres électorales de certains partis politiques, indique ce jeudi, Kamal Rahmouni, président de l'Association des travailleurs immigrés marocains en Espagne (ATIME). Dans une déclaration rapportée par l'agence de presse Servimedia, le leader associatif, assure que les immigrés sont fatigués d’être utilisés par des formations politiques uniquement en période préélectorale.
Les immigrés en Espagne n’ont pas recours aux établissements de transfert de fonds (banques, services postaux ou sociétés de transfert d’argent) pour leurs envois d’argent vers leurs pays d’origine. C’est ce qui ressort de l’étude « Immigration et transferts informels en Espagne », conduite par le chercheur et directeur du Centre d’investigation « Remesas.org », Iñigo Moré.
François-Charles Wolff est économiste, professeur à l'université de Nantes et chercheur à l'Institut national des études démographiques (INED). Il vient de publier aux Editions Stock un livre intitulé « Le Destin des enfants d'immigrés, un désenchaînement des générations », coécrit avec la sociologue Claudine Attias-Donfut, directrice de recherche à la Caisse nationale d'assurance-vieillesse (CNAV). Les deux auteurs ont accordé séparément deux interviews à deux organes de