«Rachida, au nom des pères», c’est le nom de la BD qui sort demain en France. Elle raconte l’histoire d’une enquête menée par un détective privé qui cherche à savoir qui est réellement le père de Zohra, la fille de Rachida Dati. Une BD qui a crée la colère de l'ancienne ministre. Elle a demandé à la justice française d’interdire la sortie de cette BD pour atteinte
De toute évidence, le Maroc a toujours la cote auprès des personnalités politiques (et artistiques) françaises de premier rang. En effet, si Nicolas Sarkozy, président de la République et son épouse, Carla Bruni Sarkozy, ont séjourné, trois jours durant à Marrakech, où ils ont été reçu par le Roi Mohammed VI, voilà qu’on apprend que Rachida Dati, ancienne Garde des Sceaux et actuelle députée européenne a été aperçue à Casablanca, puis à Rabat, ces jours derniers.
Rachida Dati signe son grand retour sur la scène médiatique puisque c'est aujourd'hui que l'ex Garde des Sceaux va découvrir sa poupée de cire au Musée Grévin à Paris.
Cela faisait quelques jours maintenant que l'information sur la grossesse de Rachida Dati, ministre de la Justice française, circulait. Jusque là rien de bien extraordinaire. Mais cette grossesse a déclenché une véritable polémique suite à l'annonce par le journal en ligne L'observateur.ma du nom du père. Celui ci ne serait, d'après ce journal, que l'ancien chef du gouvernement espagnol, José Maria Aznar.
Selon des sources fiables (et concordantes), la ministre de la Justice Française, Rachida Dati, a pris la destination de Casablanca, ce lundi 4 août, au départ de Paris, dans le cadre d’un séjour privé. C’est donc une MRE de choix qui séjournera au Maroc, cet été.
«En politique, tous les coups sont permis». Nul n’en doute. Le nombre de règlements de compte, de coups bas, de mise en scène «caverneuses »,…font légion. Cette réalité, universelle du reste, est une composante majeure des environnements politiques ou des cercles de pouvoir. Néanmoins, ce n’est pas une raison suffisante pour «banaliser» ces agissements contre-productifs pour l’intérêt général.
A peine installée dans le fauteuil de Garde des Sceaux que la ministre Rachida Dati, nommée au grand dam de nombreux leaders de l’UMP (dont Patrick Devedjian, que Nicolas Sarkozy à «remercier» pour sa fidélité en le désignant Secrétaire général adjoint de l’UMP…), se retrouve à gérer son premier dossier «chaud». En effet, alors que Paris Match s’apprêtait à diffuser des photos ayant trait à son enfance, à une tranche de sa jeunesse, une levée de bouclier voire une