Y a-t-il aujourd’hui des «musulmans de gauche», comme il y avait hier des «catholiques de gauche» ? C’est la question que s’est posée la Fondation Jean-Jaurès dans une nouvelle note d’analyse, rendue publique jeudi, basée sur les résultats d’une enquête réalisée sur les valeurs des Franciliens. Détails.
Un roman écrit par James P. Whaley relate l’histoire d’un jeune anglais qui a racheté une maison close dans la ville d’Essaouira pour la transformer en hôtel. Dans «Magic Lobstrs and flying tagines», James Whaley part à la découverte de la Médina d’Essaouira, la culture et les traditions marocaines, et revient sur des sujets sulfureux tels que la prostitution, la sorcellerie, les superstitions, ainsi que le
Immigrer depuis le Maroc vers les pays du Vieux continent est devenu quasi mission impossible. Mais certains pourraient avoir trouvé une petite faille pour pénétrer dans la forteresse européenne. Il y a presque trois mois, la cour de justice de l’Union européenne avait invité les pays de l’UE à examiner favorablement les demandes d’asile exprimées par les homosexuels risquant l'emprisonnement. A Melilla, plusieurs
Les livres, les conférences et les sorties médiatiques d’Abdellah Taïa suscitent souvent la polémique au Maroc. Son premier film «l’armée du salut» ne devrait pas déroger à cette règle. L’œuvre a, d’ailleurs, été sélectionnée au festival national du film de Tanger.
Le plus ancien festival de cinéma au monde accueille, pour sa 70e édition, un film marocain. Il s’agit de «L’Armée du salut», d’Abdellah Taïa où il revient sur son enfance, son homosexualité et son amour pour son frère. Coup de pojecteur sur un film tabou.
Il ne fait pas bon être noir de peau et homosexuel au Maroc. Le récit d’Hervé Obiang, un Camerounais résidant actuellement à Tanger, en témoigne. Ayant quitté son pays dans l’espoir de trouver une vie meilleure en Europe, le jeune homme avoue que ses jours ne sont pas «plus simples» au Maroc où les Subsahariens, candidats à l'immigration, sont souvent cibles d’insultes racistes et de violences
Gérard Strikker, l'ambassadeur des Pays Bas au Maroc se dit «attristé» par la condamnation de 4 hommes, en mai, pour homosexualité au Maroc. Il estime que la criminalisation de l'homosexualité est un «anachronisme».