Considérés souvent tantôt comme un espace où on se permet de tout dire ou comme faisant partie d’une sphère privée, les réseaux sociaux se révèlent de plus en plus comme un outil que la société marocaine peine à utiliser. Une absence d’éducation à ces outils qui n’excuse pas, surtout lorsqu’il s’agit de délits et crimes, comme par exemple la diffamation.