Alors qu’il a publié jeudi un communiqué démentant les vidéos circulant sur le net, filmées par des pèlerins marocains, le département des Habous et des affaires islamiques reconnait désormais, à demi-mot, les mêmes dysfonctionnements.
La bousculade de Mina pourrait être instruite par la justice française. Des Marocains s’apprêtent à franchir le pas d’une action en justice contre les autorités saoudiennes, mandatant à cet effet un bureau d’avocat français. Seulement l’affaire n’est pas aussi simple. La loi française a en effet mis des limites à la compétence universelle de ses tribunaux.