En réaction à la décision controversée de Donald Trump, plusieurs pays ont dénoncé une atteinte au symbole de Jérusalem. Yabiladi s’est entretenu avec Hazem Kassem, porte-parole du mouvement palestinien Hamas. Le militant appelle les dirigeants arabes à exercer davantage de pression sur l’administration américaine, tout en insistant sur l’urgence de tenir une réunion du Comité d’Al Qods.
Alors que des organisations marocaines commémorent le 100e anniversaire de la Déclaration Balfour, le Hamas a décidé de réviser sa charte. L’organisation islamiste reconnaît indirectement l’Etat d’Israël et rompt le cordon ombilical avec les Frères musulmans, que l’administration Trump s’apprête à classer parmi les organisations terroristes.
Il a fallu attendre que le PJD prenne la tête du gouvernement pour qu’un haut dirigeant du Hamas, en l’occurrence Khaled Mechaâl, puisse fouler le sol marocain. A cela s’ajoute une succession d’événements qui inquiétent Israël et incitent ses services de renseignements à examiner les conséquences de la relation entre le PJD et le Hamas sur le Palais.
L'affaire est assez inédite pour être signalée. Une organisation musulmane canadienne a décidé de poursuivre le Premier ministre pour diffamation. Depuis, les deux parties mènent des surenchères verbales par avocats interposés. Arguments des uns et des autres!
Les visites de solidarité de partis marocains avec la population de Gaza ne sont toujours pas tolérées. A son corps défendant, une délégation du PAM a appris qu’elle n’est pas autorisée à franchir le passage Rafah pour se rendre à l'intérieur de la Bande à cause de «problèmes techniques».
«Israël a le droit de défendre sa nation, le Hamas ne veut pas de paix». Tout porte à croire que cette déclaration émane d’un responsable du gouvernement israélien ou de ses alliés. En réalité, elle est signée Rachid Birbach, un imam marocain installé en France. Détails.
Le Maroc a condamné, hier, par voie officielle, l'attaque de Gaza par l'armée israélienne. 15 Palestiniens au moins sont morts depuis le début de l'attaque, dont Ahmad Jaabari, chef militaire du Hamas.