Un rapport sur les risques mondiaux pour 2023, publié par le Forum économique mondial (WEF), fait état de la crise du coût de la vie comme l’un des défis majeurs pour beaucoup de pays, au cours des deux prochaines années, y compris au Maroc. Cette situation est exacerbée par un contexte mondial marqué par la vie chère, surtout après la guerre en Ukraine.
Le cabinet Mercer vient de publier un nouveau classement mondial relatif à la qualité de vie et aux villes où il fait bon vivre. Sur 209 villes, le Maroc est représenté par Casablanca et Rabat, qui affichent un coût de la vie de plus en plus cher.
Le cabinet Mercer a publié, récemment, le classement 2018 des villes où le coût de la vie est le plus cher au monde. Les villes marocaines font plutôt bonne figure. Détails.
L’incapacité du gouvernement El Othmani à freiner la hausse des prix met à mal certains ministres. En témoigne ce qui s’est passé ce mardi à la Chambre des conseillers.
Loin des débats des économistes sur le coût de la vie et la croissance, le Maroc intègre le top 50 mondial des pays où la vie est le plus abordable dans un classement du Time magazine, répertoriant 112 pays à travers le monde. Pourtant, les écarts entre les pays de la zone MENA et le Maroc sont importants même si le royaume devance plusieurs pays dits "riches". Détails du classement.
La hausse des factures d’eau et d’électricité ont fait descendre dans la rue des Marocains dans plusieurs régions du pays. Des manifestations organisées par les Marocains aux petites bourses, mais qui jusqu’à présent, n'ont pas été inquiétées par les forces de l’ordre. Pour calmer la grogne, Abdelilah Benkirane a, devant les députés de son parti, menacé de sanctionner les
Le cabinet Mercer vient de publier son classement 2014 des villes où le coût de la vie est le plus cher pour les expatriés. Il en ressort que les métropoles marocaines sont plutôt bon marché. Détails
C’est par milliers que les Marocains sont déscendus dans les rues de Rabat hier pour dénoncer «l’indifférence» du chef du gouvernement face aux différentes réclamations liés, entre autres, aux problèmes sociaux et à la liberté syndicale au Maroc. Ils promettent une nouvelle manifestation si rien n’est fait.