Après une progression historique de 38 places en 2014 puis une régression de trois rangs en 2016, le Maroc perd 25 places dans l’indice de développement de l’e-gouvernment (EGDI) publié tous les deux ans par l’ONU. Le Maroc n’est plus la «référence africaine en termes d’e-participation» comme l’année dernière.
Après une progression historique de 38 places en 2014 dans l’indice de développement de l’e-government (EGDI) publié tous les deux ans par l’ONU, le Maroc perd trois places dans le classement général mais demeure la référence africaine en termes d’e-participation. Détails.
Alors qu’il affichait l’une des plus fortes progressions mondiales en matière de technologies de l’information et de la communication en 2015, le Maroc stagne cette année. C’est ce que révèle le World Economic Forum dans son rapport annuel fraichement publié. L’une des principales forces du Royaume reste l’accessibilité de ces technologies.
Quels pays dans le monde ouvrent leurs données publiques ? Lesquels le font de la bonne manière et au bon moment ? Voilà parmi tant d’autres les questions auxquelles répond le Global Open Data Index 2014, fraichement publié par l’ONG internationale Open Knowledge Foundation (OKFN). Pour un premier classement, le Maroc arrive au 79ème rang sur 97 pays, mais peut littéralement mieux faire.
Le Maroc progresse fortement au classement 2014 des Nations Unies pour le E-Government. Le royaume gagne 38 places par rapport à 2012, soit la meilleure performance en Afrique. S’il enregistre des scores significatifs sur ’’e-Participation’’ et les ’’Services en ligne’’, il reste en revanche en retrait par rapport à ceux liés au ’’Capital humain’’ et aux ’’Infrastructures en