A trop vouloir jouer les Cerbères de l’Europe, nos décideurs politiques et sécuritaires oublient le droit, la décence et l’intérêt suprême de la nation. Une mesure discriminatoire visant uniquement les Subsahariens par le biais d’un contrôle au faciès a déclenché une réaction en chaîne et un gros malaise.