Et si le «Ceuti arabe» était reconnu par l'Etat espagnol avant que la darija ne le soit par le Maroc ? Les musulmans de Ceuta font du lobbying pour que leur langue natale ait enfin droit de cité.
L’Istiqlal est vent debout contre la présence d’expressions en dialecte dans des manuels scolaires de langue arabe. Le PI crie à la violation de l’article 5 de la constitution. Le ministère de tutelle assume, le PJD silencieux.
Après Hussein El Jasmi, Myriam Fares et Diana Haddad, c'est le chanteur libanais Assi El Hallani qui se met à chanter en marocain.