Au Maroc, l’enseignement primaire n’est pas le seul secteur agonisant. Le supérieur n’est pas épargné des crises qui mettent en péril plusieurs années d’études, de travaux pratiques et de recherches. Après le scandale qui secoue depuis quelques semaines l’Université Abdelmalek Essaadi de Tétouan, c’est un bras de fer au sein du Complexe horticole d’Agadir qui menace désormais