Lancé en 1998 avec de grandes ambitions, Ubisoft Casablanca tire sa révérence. En cause, l’absence d’une formule viable dans un marché du jeu vidéo soumis, ces dernières années, à de nombreuses mutations.
On a rarement vu l’art islamique être utilisé pour autre chose que la décoration, toutes formes confondues. L’expérience de deux développeurs anglais et irakien montre que cet art peut également être une grande source d’inspiration pour le design des jeux vidéo.