La générosité au Maroc, oui, mais à notre façon. Les Marocains préfèrent toujours venir en aide à un inconnu plutôt que donner de leur argent ou de leur temps au profit des organisations caritatives, selon le dernier rapport sur l’indice mondial de la générosité.
Sur Medi1TV la semaine dernière, la ministre déléguée chargée de l’Environnement, Hakima El Haite, annonçait pour la COP21 la participation de 150 délégués officiels marocains dont une centaine de représentants des associations de la société civile. Quelques jours plus tard, l’Écolo Plateforme du Maroc du Nord, qui regroupe les associations de protection de l’environnement de la
Le fil du dialogue entre le gouvernement et les associations amazighes semble rompu. A Genève une ONG berbère internationale a profité de la tribune du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU pour présenter un réquisitoire contre l’approche du Royaume sur cette question.
Mauvais début pour une ONG pro-Polisario au Sahara pourtant récemment reconnue par les autorités marocaines. Son projet de «session de formation» a été interdite et les trois Espagnoles qui devaient animer la rencontre ont été expulsées de Laâyoune.
Près de huit mois après la décision du ministère de l’Intérieur de restreindre les activités de l’Association marocaine des droits de l’homme, celle-ci a décidé de porter l’affaire à Genève. L’ONG veut faire intervenir le conseil des droits de l’homme de l’ONU en sa faveur, ainsi que pour toutes les autres associations marocaines dont «les droits sont violés».
Récemment encore, les autorités de l’éducation nationale tentaient de minimiser les impacts de la privatisation sur le système public marocain. Mais le rapport fraichement publié par un collectif d’ONG discrédite les officiels. Le document dénonce la «marchandisation» de l’éducation via une «privatisation croissante et alarmante» basée «en réalité» sur une logique