Dans le Rif, les autorités semblent vouloir se débarrasser de quelques acteurs associatifs, pourtant longtemps sous les ordres. Le cas de Said Chramti est très éloquent. Son procès pour «atteinte à un corps constitué» doit reprendre ce jeudi au tribunal de première instance de Nador. Faiçal Marsi est un autre exemple qui confirme cette tendance. L’homme, connu, pour avoir déposé une plainte contre
J’aurais voulu vous souhaiter joyeuse et heureuse année 2014, avec tout le tralala des meilleures vœux et tout ce qui va avec. Mais, je ne vais pas le faire, pour deux simples raisons. La première, c’est que cela ne vous apportera pas grand-chose, ni améliorer votre sort non plus ni, le cas échéant, l’amocher plus qu’il l’est déjà. Pour la deuxième raison, c’est que je ne suis pas expert en
Au Rif, décembre et janvier sont deux mois propices à la contestation. Le coup d’envoi a été donné par des sit-in organisés par les élèves d’un collège à Imzouren. Samedi, ca sera au tour de la localité de Boukidane de célébrer le troisième anniversaire des évènements de fin 2011. Un élan de protestation qui devrait se poursuivre avec la commémoration
Au milieu des années 90, le Maroc avait mené une politique incitant les paysans du Rif à substituer la culture du kif par d'autres plantes légales, en vain. Maintenant, le PAM s'empare du sujet et entend faire du cannabis la locomotive d’une économie alternative. Un pari audacieux.
Voilà plus de deux mois que les jeunes de Targuist battent le pavé. Leur principale revendication : la concrétisation sur le terrain de projets lancés par le roi Mohammed VI lors de sa visite en 2007. Six ans plus tard, rien n’a été fait. Les promesses du gouverneur d’accélérer le «rythme» des réalisations ne semblent guère convaincre les représentants des contestataires. Dimanche, ils sont
L’affaire de la détention des trois adolescents pour la photo d'un baiser posté sur facebook a permis de faire sortir de l’anonymat une association locale qui prétend défendre les droits de l’Homme. Mais qui est exactement cette ONG ? Yabiladi a pu obtenir quelques éléments de réponse.
C’est contre le retard ou le «détournement» de projets lancés par le roi Mohammed VI en 2007 que les habitants de Targuist protestent. Dans un premier temps, les autorités ont usé de la matraque pour contenir la colère de la population, constatant l'inefficacité de ce moyen elles se sont résignées à appeler au dialogue. Une offre rejetée par les manifestants.
Dimanche, le mouvement pour les droits des Amazighs au Maroc a organisé plusieurs manifestations. Deux d’entre elles ont été empêchées par la police qui n’a pas hésité à arrêté les manifestants. La troisième a Rabat a pu avoir lieu.