Trois chercheurs de l’Institut national d’études démographiques relativisent l’idée selon laquelle le taux élevé de fécondité en France est fortement impulsé par l’immigration.
Une étude de l’Institut national d’études démographiques (INED) s’intéresse aux prénoms donnés en France aux personnes originaires d’Europe du sud et d’Afrique du Nord. Elle montre comment l’intégration s’est ressentie au niveau des appellations données d’une génération à l’autre.
Pour le sociologue Mathieu Ichou, spécialiste de l’immigration, les conditions sociales et les trajectoires scolaires des enfants d’immigrés sont marquées par une grande diversité. La «deuxième génération» constitue en effet un groupe très hétérogène.
D’après un rapport de l’Institut national d'études démographiques (Ined), l’Afrique verra sa population doubler d’ici 2050 et quadrupler d’ici la fin du siècle. Quid du Maroc ?
Selon l’Institut national d'études démographiques, les filles dont les parents sont originaires du Maghreb sont plus exposées à l’inactivité professionnelle que les femmes nées en France de parents français.
S'intégrer socialement en France, vous garantit-il d'être intégré économiquement si vous êtes un descendant d'immigré? Pour répondre à cette question, une équipe conjointe de chercheurs de l'INED et de l'INSEE a tenté d'apporter un début de réponse. Intitulée «Trajectoire et Origine», l'étude a suivi le parcours de vie de milliers d'enfants d'immigrés qu'elle a
La minceur est-elle perçue de la même manière dans les quatre coins du monde ? C’est la question sur laquelle s’est penchée une enquête internationale, menée dans 13 pays de 4 continents et publiée ce mercredi 23 octobre.
Les femmes représentent 51% des immigrés en France, selon l’enquête Trajectoires et origines produite par l’Institut National d’Etudes Démographiques (INED) et l’Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques (INSEE). La majorité d’entre elles ont foulé le sol français étant célibataires selon les résultats de l’enquête publiée dans Le Monde.fr.
En France, le taux de chômage des immigrés provenant des pays non européens est de 20,2% contre 8,7% pour les Français. Par contre, ce taux s'élève à 24,2% pour les Français descendants d’immigrés. En d’autres termes, les enfants d’immigrés sont plus exposés au chômage que les immigrés eux-mêmes, révèle le rapport du Haut Conseil à l’Intégration