Initialement articulées autour de l’indépendance du Maroc, les luttes menées par les Marocains en France ont ensuite rejoint celles des ouvriers et du syndicalisme, se classant parfois à la gauche de la gauche.
Contrairement aux promesses électorales du président Emmanuel Macron, nombre de postulants maghrébins restent visés par la discrimination à l’embauche. Non seulement cette inégalité est admise sur le marché du travail, mais le gouvernement français n’a toujours pas publié les noms des institutions concernées par un usage que le chef d’Etat avait juré de pénaliser.