Les Espagnols ont presque passés sous silence les entretiens entre Abdellatif Hammouchi et trois hauts gradés des services de sécurité. Pourtant la veille des sources à la Guardia Civil saluaient l’engagement de la DGST à échanger les informations avec Madrid et non Barcelone.
Le Hirak a révélé au grand jour les fausses notes entre les parties censées pourtant jouer une seule et même partition. Le couac d'hier entre le CNDH et la DGSN n’est pas un simple accident de parcours. La machine officielle est-elle grippée à ce point ?
Avant qu’il ne passe à l’acte, les services de renseignements marocains avaient alerté, dans deux correspondances, les Allemands de la dérive jihadiste du Tunisien Anis Amri, à en croire le média Mondeafrique.