Réussir seul dans une société affaiblie, c’est comme celui qui est attablé, en train de manger deux ou trois fois ses capacités et qu’il y a des affamés autour de lui qui souvent tendent la main en l’implorant.
Vous avez suivi l’affaire DanielGate, ici et encore ici ou ailleurs, et vous vous êtes tous rendus compte que le système des grâces royales ne marchait pas – et pas seulement pour cause d’erreur humaine.
Un article paru ce lundi sur le site maghrebemergent.com présente le système bancaire marocain comme le plus performant du Maghreb. Ce statut pourrait cependant être mis à mal par le manque de liquidité des banques et la faiblesse de l'épargne à long terme.
Quel système universitaire conviendrait le mieux au Maroc ? Voici une question qui semble-t-il, a traversé nos frontières. Le quotidien américain Los Angeles Times s’y est intéressé dans un article paru sur son site, et qui consacre la suprématie du système américain… au détriment du système français.
Alors que les experts du Centre Marocain de Conjoncture (CMC) ont mis en question la crédibilité des grandes agences de notation financière, la Banque Marocaine du Commerce et de l'Industrie (BMCI) a été classée relativement bon élève par l'agence Capital Intelligence (CI).
Né en France et d’origine marocaine, Akhazane Aadil, 27 ans, est mécanicien animateur dans l’univers du karting. Depuis plusieurs années, il a développé plusieurs projets, dont un qui vient d'être breveté au Maroc.
L'Association pour la mobilité internationale (AIM) et la Fondation Hassan II pour les Marocains résidant à l'étranger (MRE) ont signé hier mardi, un mémorandum d'accord pour le lancement d'une plate-forme de services pour les Marocains (PSM) de l'extérieur, a rapporté l'agence d'informations « PR Newswire ».
Le nouveau ministre de l'immigration Eric Besson a annoncé, mercredi 4 février sur l'antenne de la radio Europe 1, qu'il signerait dès ce jeudi, un décret qui allait « donner aux préfets la possibilité d'accorder des titres de séjour provisoires aux clandestins victimes de filières clandestines qui décideraient de les dénoncer » rapporte l'AFP.
Le ministre marocain de l’Education, Ahmed Akhchichine, s’est rendu à Beyrouth pour rencontrer son homologue libanais, Bahia Hariri. Ils se sont entretenus dans l'objectif d'établir un partenariat entre les deux pays en matière de formation. Akhchichine voudrait prendre exemple sur l’expérience libanaise en matière d’enseignement pour moderniser ce secteur au Maroc.