L’argent rapatrié grâce à l’amnistie fiscale accordée par le gouvernement aux fraudeurs ne dépassera pas, selon les prévisions optimistes du ministre des Finances, les cinq milliards de dirhams. Un chiffre qui demeure très modeste par rapport aux trente milliards de dirhams, détournés chaque année du Maroc vers des banques à l’étranger.