Le Pape François et Dalil Boubakeur, président du CFCM, ont condamné fermement mardi les exactions commises par l'Etat Islamique (EI) à l'encontre des chrétiens d'Irak et des Yézidis. Tous deux appellent les pays musulmans à sortir de leur silence, et prendre une position ferme.
Si Chabat avait porté plainte contre Benkirane pour «diffamation» lorsque ce dernier avait insinué que certains responsables de l’Istiqlal avait fait fuir des capitaux, le chef du gouvernement n’a pas suivi la même voie. Contrairement aux conseils de ses frères, il a décidé d’en rester là. Et pourtant, le secrétaire général de l’Istiqlal l’a accusé d’entretenir des
Un contingent de soldats marocains s’est rendu en Arabie saoudite. Ils ont été dépêchés sur place, au même titre que des Pakistanais, des Jordaniens, des Egyptiens et une société américaine de sécurité privée, pour apporter une assistance aux troupes de la Garde nationale, chargées de la surveillance des 800 kilomètres de frontières avec l’Irak.
Fatiha Mejjati, une jihadiste marocaine considérée comme l’une des principales figures de la mouvance radicale marocaine, avait disparu des réseaux sociaux, depuis une semaine. Hier, elle a tweeté une photo d’elle devant le tribunal islamique de Jarabulus, un village syrien contrôlé par les hommes d’Al Baghdadi, qui s’est récemment autoproclamé «Calife des musulmans».
Faisant feu de tout bois, Hamid Chabat vient d’accuser, dans une nouvelle vidéo, le PJD de financer l’organisation de l’Etat islamique en Irak et au Levant. Il s’avère que la stratégie d'attaque du chef de l’Istiqlal souffre d'approximations. Le soutien religieux est devenu financier, et la confrérie des Frères musulmans se confond avec EIIL. Explication.
Le salafiste Omar Haddouchi est dans le viseur de l’Etat islamique en Irak et au Levant. Le groupe jihadiste a mis, également, dans le même panier la très grande majorité des têtes d’affiche de l’islamisme au Maroc. L’organisation condamne leurs oppositions au jihad en Syrie. Détails.
Ce mois enregistre deux sorties médiatiques des familles des combattants marocains sur le front syrien, réclamant aux autorités des garanties à leurs proches qui souhaitent rentrer au Maroc.