Dans une déclaration faite dimanche dernier, le secrétaire général du PAM, Ilyas El Omari a critiqué le timing de la présentation en 2007 du plan d’autonomie marocain. Considérant cette sortie comme une accusation directe contre le roi, le PJD a vite répliqué en prenant la défense du monarque. Les islamistes sont, jusqu’à présent, les seuls à avoir commenter la position du secrétaire
Benkirane collectionne les dérapages verbaux. Ses détracteurs entendent en tirer profit au point d'inventer une crise diplomatique avec la Colombie. Une fausse nouvelle qui a fait le tour de nombreuses rédactions en ligne avant qu’elle ne soit démentie.
Après des mois de négociations sans résultat avec le gouvernement, les enseignants stagiaires ont trouvé, hier soir, un accord avec le secrétaire général du PAM pour clore définitivement ce dossier. Cette entente a fait sortir Abdelilah Benkirane de ses gonds à l’occasion de la réunion du conseil du gouvernement.
Le conseil de la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima prétend que le colloque, qu’il prévoit d’organiser en avril, est une réunion préparatoire de la session extraordinaire de l’Assemblée générale des Nations unies (UNGASS). Cette dernière précision suscite le doute et cacherait d'autres enjeux. Explications.
L’élection d’Ilyas El Omari à la tête du PAM semble inéluctable. L’homme fort au parti du Tracteur parie sur une féminisation et une «dérifinisation» de sa formation pour asseoir davantage son emprise. Mais saura-t-il se détacher de l’omniprésence de l’ombre du fondateur du PAM, Fouad Ali El Himma ?