Si les gouvernements espagnol et marocain évitent d’aborder publiquement la question de Ceuta et Melilla, les militaires espagnols, notamment ceux à la retraite, n’adhèrent pas à cette «entente». En témoigne le livre «Soldats» écrit par le général de division, Juan Carlos Domingo Guerra.
Le chef du gouvernement espagnol se félicite que Rabat et Madrid maintiennent leurs engagements à respecter les «sphères de souveraineté» de chaque pays. A cet égard, il s’est dit satisfait de l’ouverture des douanes de Ceuta et Melilla.