Après de longs mois à attendre une réponse du gouvernement aux appels de détresses lancés par la population de Fnideq, victimes de la fermeture des frontières avec Ceuta, la situation a dégénéré hier soir en affrontements entre manifestants et forces de l’ordre lors d’un sit-in.
La cheffe de la diplomatie espagnole a émis le souhait de voir Ceuta et Melilla bénéficier d'une «zone de prospérité avec le Maroc» sur le modèle de l’accord conclu entre Madrid et Londres sur Gibraltar.