Le Maroc figure parmi les 10 pays africains les mieux préparés au commerce en ligne, selon le B2C E-commerce Index 2018 de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement.
Le Maroc se classe au 94e rang de l’édition 2018 du Global Knowledge Index. Ce dernier est élaboré par le Programme des Nations unies pour le développement et la Fondation Mohammed Bin Rashid Al Maktoum.
La revue scientifique britannique The Lancet et l’University College de Londres s’inquiètent des stéréotypes véhiculés sur les migrants, exclus de nombreux services publics, notamment la santé.
La majeure partie des travailleurs migrants exercent dans le secteur des services, suivi du commerce, de l’industrie manufacturière et de la construction. En revanche, le secteur de l’agriculture, de la sylviculture et de la pêche compte très peu de travailleurs migrants.
L’ONG britannique Legatum Institute a rendu public ce mercredi son classement mondial sur la prospérité et le bien-être dans le monde. Un classement où le Maroc perd une place par rapport à l’année dernière, se positionnant ainsi au 103e rang mondial sur 149 pays.
Dans un rapport parlementaire, des élus jugent insuffisants les efforts de certains médias pour aborder plus justement les thématiques relatives à la population musulmane et à l’islam.
De grands écarts existent entre les attentes des travailleurs casablancais et les performances de leur ville, notamment sur le plan humain, indique le cabinet Mercer dans un récent rapport. 15 mégapoles du monde sont comparées, dont Casablanca où un niveau de stress «élevé à modéré» est constatés auprès des employés qui y vivent.
Le 1er novembre 1988, le journaliste et photographe espagnol Ildefonso Sena documentait officiellement le premier décès d’un migrant en Méditerranée. Il n’avait pas encore 25 ans et était Marocain.
L’Organisation mondiale de la santé s’inquiète des risques pour la santé qu’encourt l’écrasante majorité des enfants dans le monde à cause de la pollution de l’air.
L’Organisation mondiale de la santé exhorte plusieurs pays à éradiquer la pratique des tests de virginité. Les sociologues marocaines Nouzha Guessous et Marya Khtira estiment que cette pratique alimente la discrimination envers les femmes et l’hypocrisie sociale.