Le Maroc poursuit le renforcement des mesures de contrôle de sa frontière avec l’Algérie. Après la muraille électronique, le royaume se lance dans le projet de construction d’une nouvelle génération de points de surveillance, plus performants et pouvant accueillir de l’équipement militaire.
En l’espace de quatre jours, Abdelilah Benkirane est revenu à deux reprises sur la crise des relations maroco-algériennes. Après avoir abordé la question dans une interview accordée au quotidien saoudien Achark Awsat, le voilà qu'il récidive avec des déclarations à une agence de presse émiratie. Le chef du gouvernement s’est gardé d’entrer dans une escalade verbale avec les officiels
Décidemment, les parlementaires marocains tiennent à renvoyer d'eux une mauvaise image. Et la retransmission en direct par Al Oula des séances des questions orales leur facilite la tâche. Hier après-midi, les députés ont encore croisé le verbe sur sujet censé dépasser les clivages politiques : l'incident frontalier entre l'Algérie et le Maroc.
Un sit-in devant l’ambassade d’Algérie a été organisé, hier à Rabat. Peu de participants ont répondu à l’appel lancé par un député de l’Istiqlal, Adil Tchikitou. De son côté, Hamid Chabat, à l’issue d’une visite de la victime des tirs algériens, a demandé au gouvernement Benkirane de soumettre l’incident au Conseil des droits de l’Homme de
Nombreux sont les différends territoriaux qui opposent le Maroc à l’Algérie. L’un d’eux se serait réglé sans le recours aux armes. Mais, le voisin de l’Est continue d’occuper d'autres parties du royaume. Détails.
Après une longue brouille, les ministres mauritaniens inscrivent, de nouveau, la destination Maroc sur leurs agendas officiels. En attendant la nomination d’un ambassadeur à Rabat, pour sceller l’entente retrouvée entre les deux Etats, le chef du département de l’Intérieur s’est rendu au royaume.
Les sans-papiers marocains d’Algérie ont l’habitude de traverser clandestinement la frontière à l’approche de l’Aïd el Kébir pour revenir célébrer l’événement avec leurs proches. Mais cette année, avec la menace terroriste qui plane, tout ne s’est pas passé comme prévu. Ces MRE ont dû être soumis à un contrôle très strict de leurs identités
L’expulsion des migrants de Melilla vers le Maroc pourrait faire tomber quelques têtes au sein de la Guardia Civil. Ambrosio Martín Villaseñor, un colonel de la GC, devra s’expliquer devant la justice sur le retour à chaud des migrants après des assauts de juin et août sur le préside. L’affaire risque d’atteindre des proportions inattendues puisque les forces de l’ordre dénoncent