Dans le village d'Armed, l'un des hameaux près d'Imlil niché au cœur des montagnes de l'Atlas, Mohamed Ait Mbarek mène une vie tissée de ses propres mains, à l'image des tapis qui sont devenus sa principale source de revenus. Vêtu de sa tenue amazighe et d'un turban, il accueille les visiteurs avec sourire et un accent anglais fluide. Il n'a pas fréquenté l'école, mais son expérience avec les touristes et sa
Connu pour ses palmiers, et les paysages désertiques, le Maroc propose aussi des destinations enneigées magnifiques. Ifrane, Oukaimeden, Toubkal ou Bab Boudir, sont idéales pour le ski et la randonnée avec des paysages pittoresques.
La mythologie amazighe régissait la vie des habitants en Afrique du Nord. Ils avaient leurs héros, leurs dieux et leurs demi-dieux qu'ils vénéraient. Zoom sur trois de ces figures ayant été largement documentés dans les livres d'histoire.
Dans les villages reculés de l’Atlas, les habitants craignent un djinn maudit, mi-femme, mi-mulet, qui hante les cimetières et s’attaque à ceux qui errent après la tombée de la nuit. Dans le mythe populaire, ce personnage connu sous le nom de «Tagmart n Ismdal» ou «Taserdunt n Ismdal» est craint. Ceux qui le rencontrent peuvent tomber dans la folie, souffrir de maladies ou mourir.
Dans les montagnes marocaines de l’Atlas, deux chercheurs ont découvert des centaines de milliers de documents appelés «arraten», à savoir des contrats juridiques locaux. Cette trouvaille apporte des éléments exhaustifs pour mieux comprendre l’histoire socioéconomique des tribus amazighes. Jusqu’à 500 000 arraten pourraient encore être enfouis, ce qui rappelle l’importance de préserver ce