Il dénonçait lundi dernier «les accusations politiques graves» au sujet des élections et «qui ne rassurent pas l’électeur» au lendemain du rendez-vous électoral ainsi que «l’opportunisme» et «l’absurdité politique» dans le changement d’affiliation qui concernent désormais des chefs de partis et des ministres. Le Mouvement Anfass démocratique vient
Le Mouvement Anfass Democratique vient de publier son rapport analysant la politique économique du Maroc de ces dernières décennies. Au regard de l’implication jugée trop importante des institutions financières internationales, l’ONG estime «primordial» que Rabat retrouve sa souveraineté. Elle fait également ses propres propositions pour une économie qui profite au pays et aux citoyens. Détails.
Récemment encore, les autorités de l’éducation nationale tentaient de minimiser les impacts de la privatisation sur le système public marocain. Mais le rapport fraichement publié par un collectif d’ONG discrédite les officiels. Le document dénonce la «marchandisation» de l’éducation via une «privatisation croissante et alarmante» basée «en réalité» sur une logique
Depuis sa constitution, le mouvement Anfass s’est assigné une mission prospective avec comme horizon temporel 2030. Partant de ses valeurs fondatrices, le mouvement a présenté sa vision d’une politique fiscale efficace basée sur un pacte de citoyenneté et sur l’optimisation du potentiel de ressources pour l’Etat. Nous avons ensuite présenté notre vision pour les réformes des secteurs sociaux
Pour «éviter qu’un nouveau Daniel Gate se reproduise», deux associations marocaines viennent de présenter une proposition de loi pour réformer le droit à la grâce royale. Celle-ci vise à remplacer la procédure existante au profit d’une autre dite plus «démocratique».
Kenza SEFRIOUI, dans son ouvrage “LA REVUE SOUFFLES – 1966/1973 – Espoirs de révolution culturelle au Maroc“, paru aux Éditions du Sirocco en mars 2013, nous ramène cinq décennies en arrière, dans un Maroc à l’indépendance balbutiante, mais où le bouillonnement culturel battait son plein.