Robert Purvis était l'un des abolitionnistes américains les plus engagés du XIXe siècle. Le militant tire sa force de l'histoire de sa grand-mère, une Marocaine de confession juive réduite en esclavage et transportée illégalement aux États-Unis à l'âge de douze ans.
Dans cette série, Yabiladi revient sur une période délicate de l’histoire du royaume où plusieurs parties du Maroc, sous les Saadiens, étaient contrôlées par des entités différentes. Dans ce dernier volet, l’histoire de la République de Salé.
Lors de ses premières années de règne, le sultan alaouite Moulay Ismail, et contre toute attente, a décidé de capturer encore plus d’esclaves. Son rêve : construire un palais plus somptueux que celui de Louis XIV à Versailles. Il réservait aussi un châtiment exceptionnel à ceux qui s’évadent et aux Metedors qui les aidaient à s’échapper.
Au XIXe siècle, la région du nord des Etats-Unis s’est battue contre l’esclavage et contre les États américains qui souhaitaient maintenir cette pratique. En dénonçant ce système odieux, le sénateur américain Charles Sumner avait comparé ces Etats esclavagistes au Maroc où l’esclavage était encore une pratique courante.
La coordination européenne de soutien au Polisario organise les 18 et 19 novembre une nouvelle édition de sa conférence en Espagne. Des médias du Front annoncent un déplacement de Brahim Ghali pour y prendre part. Seulement, ce dernier est poursuivi par la justice espagnole dans une affaire d’esclavage.
Le ministre de la Justice appelle les juges à combattre le «mariage de contrat» des mineures. La présidente d’une ONG explique à Yabiladi que c’est plutôt aux services du ministère de l’Intérieur d’accomplir cette mission et non pas aux magistrats.