Pour le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, le Maroc, comme d'autres pays de la Méditerranée, serait proche du seuil de stress hydrique sévère. Les incertitudes concernant le moment, la durée, l'intensité et l'intervalle entre les événements climatiques extrêmes expose l'économie de -3% à +0,4% du PIB annuel à l'horizon 2050.
Dans un rapport présenté ce jeudi, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat s’inquiète de l’érosion des sols et la surexploitation des ressources. Au Maroc, des solutions adaptées aux cultures locales doivent être mises en place.
Alors que deux tiers des Marocains restent accros à la viande et s’impatientent d’en consommer notamment lors de la fête du sacrifice lundi prochain, un rapport du GIEC suggère aux humains de changer de régime alimentaire pour sauver la planète.
C’est un rapport alarmant dont les décideurs du monde ont reçu le résumé lundi. Le GIEC prédit l’accélération du phénomène et la montée des eaux dans les prochaines années. Le Maroc est plus que concerné par ce fait et le GIEC estime que «le défi de Rabat est de faire face à la montée de l’eau». Cependant, un scientifique marocain met un bémol au
Les climatologues du GIEC sont inquiets. Le monde connait de plus en plus d’épisodes météorologiques exceptionnels à cause du dérèglement climatique. L'un des épisodes auquel le monde doit s’habituer est la tombée plus fréquente de pluies. Le Maroc ne devrait pas être épargné par ce phénomène. Mohammed Saïd Karrouk, l’un des climatologues marocains du GIEC, demande au