Dans un communiqué publié vendredi, l’Association des barreaux du Maroc (ABAM) a ainsi qualifié les réactions des non admis et de l’opinion publique d’«injustifiées», regrettant qu’elles se soient «écartées des voies légales et administratives possibles, pour nuire, abuser et diffamer les candidat(e)s ayant réussi et leurs familles».