La pandémie du nouveau coronavirus commence à impacter sérieusement les réserves en devises du Maroc. Les indicateurs économiques étant dans le rouge, le gouvernement El Othmani a adopté un décret-loi autorisant à dépasser le plafond des emprunts extérieurs fixé pour 2020.
La banque mondiale a livré ses prévisions de croissance pour 2014 et les deux prochaines années. Le Maroc devrait enregistrer une croissance de 3% cette année et plus de 4% en 2015 et 2016. Après une période d’incertitude, le royaume semble repartir du bon pied.
Séisme dans le monde des indicateurs macro-économiques : selon les projections de la loi de Finances, le déficit public devrait s’élever à 9,2% du PIB en 2012, soit un nouveau record ! Face à la gravité de la situation, le Trésor Public marocain dispose de choix simples mais complexes : augmenter les recettes, diminuer les dépenses, et/ou intensifier les emprunts. Lequel ou lesquels choisir ?