Alors que le Parlement examinera les textes relatifs à l’interruption volontaire de grossesse (IVG) dans le cadre du projet de loi 10.16 sur la réforme du Code pénal, la matrice idéologique du PJD a appelé à se conformiser aux préceptes religieux. De son côté, la société civile dénonce de nouveau un texte restrictif.
Du nouveau dans l'affaire qui opposait le docteur Chraïbi au ministère de la Santé. Celui qui est également président de l'AMLAC, qui milite contre l'avortement clandestin, peut à présent reprendre son poste.
Le nombre de médecins condamnés pour avoir pratiqué l’avortement clandestin va crescendo au Maroc. Pour preuve, au cours de ces cinq derniers mois uniquement, au moins cinq praticiens ont été incriminés. Face à cette situation, le président de l’Association marocaine de lutte contre l’avortement clandestin (AMLAC), Chafik Chraïbi, a tiré la sonnette d’alarme et appelé à la mobilisation pour
Légaliser partiellement l’avortement n’est pas d'actualité pour la ministre de la Femme et de la Famille Bassima Hakkaoui, mais elle propose, pour trancher cette question, d’organiser un référendum populaire. Une proposition qui provoque la colère des médecins et des féministes.