Une formation politique surfe une nouvelle fois sur la vague d’une vielle revendication du mouvement amazigh portant sur la célébration officielle du Yennayer. Après l’épisode Hamid Chabat alors secrétaire général de l’Istiqlal, en 2015, c’est au tour de l’USFP de jouer cette carte.
En 2012, le Maroc a connu l’émergence de leaders populistes propulsés à la tête de partis politiques. Une manœuvre destinée à circonscrire l’influence de Benkirane. Cinq ans plus tard, le PJdiste et Hamid Chabat ont été contraints de céder leurs postes. Seul Ilyas El Omari fait encore de la résistance.
Après avoir échoué à obtenir un second mandat à la tête de l’Istiqlal, Hamid Chabat s’est mis en retrait de la scène politique marocaine. Entretien avec l’ex-secrétaire général de la Balance.