C'est l'un des extraits de l'interview accordée au site Public.es, par le bloggeur Mohamed Erraji, condamné à deux ans de prison ferme en première instance, il sera acquitté pour vice de procédure. Il était à Madrid ce Mardi, pour recevoir le prix du Club international de la presse 2008.
Il ne se passe pas une journée sans que le leader du Front Polisario, Mohamed Abdelaziz, ne rabâche pas son statut de « victime » aux yeux de la communauté internationale.
Hier marginalisée, la classe moyenne est aujourd'hui au centre des préoccupations des hommes politiques marocains. C'est du moins le message qu'essaient de faire passer ces derniers.
Cela fait trois ans que Mohamed Bellouti accuse Jean Sarkozy, le fils cadet du président français d'avoir percuté l'arrière de sa voiture, une BMW, avec son scooter et l'accuse d'avoir pris la fuite.
Le verdict tant attendu sur l’affaire Erraji vient de tomber. Le Procureur général de la cour d’appel d’Agadir a statué en prononçant la relaxe sous la forme d’abandon de toutes poursuites à l’encontre de Mohamed Erraji.
Après que ses avocats aient demandé à la cour espagnole de ne pas extrader leur client « El Nene » alias Mohamed Ahmed Taieb, ce dernier se voit dans une situation embarrassante puisque la chambre criminelle auprès du tribunal espagnol, la«Audiencia National » a estimé que El Nene est extradable en raison de l’utilisation frauduleuse des deux nationalités à savoir la nationalité espagnole et celle marocaine.
Au passage en revue des différentes étapes de «l’affaire Erraji», le bloggeur originaire de Biougra, ville satellite située à une trentaine de kilomètres d’Agadir, on est en droit de se poser un certains nombre de questions. Comment ce jeune est arrivé à côtoyer les détenus de droits communs alors que son seul tort était d'avoir écrit un article. Récit.
Mohamed Erraji, rédacteur du support électronique en langue arabe « Hespress », a été arrêté suite à un article qu’il avait publié dans le même journal sous le titre « le Roi encourage le peuple à être paresseux ». Cet article a été jugé irrespectueux à l'égard du roi. Il écope de 2 ans de prison et 5000 dirhams d'amende.
Cheikh Mohamed Ben Ahmed Younsi, l'un des plus grands maîtres de la chanson consacrée notamment aux immigrés, s’est éteint dans la nuit du mardi 27 août 2008 à l'âge de 81 ans dans la ville de Berkane. C’est ce qu’a annoncé le Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME). Ce décès laisse un grand vide dans le champ musical marocain. Et pour cause, Cheikh Mohamed Ben Ahmed Younsi était un grand maître de la chanson populaire et la thématique de l'immigration lui
Drame passionnel au lycée Lyautey, ce mardi 17 juin 2008, vers 17 heures, avec une élève de Terminale victime d’un coup de cutter porté au niveau de sa gorge par un collègue de classe. Plongée dans un coma profond, Nawal Lazrak, 18 ans, a été conduite en urgence à la clinique la plus proche (Clinique Val d’Anfa).