Le jury de la 21e édition du Festival international du film de Marrakech (FIFM 2024) a dévoilé, ce samedi 7 décembre, son palmarès qui récompense cinéma émergent et expression artistique qui dit les maux du monde actuel, tout en interrogeant l’avenir. En haut de l’affiche, «Happy Holidays» s’est adjugé l’Etoile d’or et un double prix d’interprétation féminine, tandis que
Clôturant le riche programme des Conversations au 21e Festival international du film de Marrakech (FIFM 2024), ce samedi, le réalisateur mauritanien Abderrahmane Sissako revient auprès de Yabiladi sur son œuvre humaniste et engagée, qui a évolué au fur et à mesure des changements sociopolitiques dans son Afrique natale. Cette dynamique, qui façonne également les liens entre le nord et le sud, devient un objet
Président du jury du 21e Festival international du film de Marrakech (FIFM 2024), Luca Guadagnino tisse ses amitiés artistiques au fil de la diversité et de la passion pour le cinéma. Avec huit réalisateurs et acteurs, le cinéaste italien visionne 14 longs-métrages en compétition. Il trouve aussi le temps d’apprécier d’être au Maroc, dont il garde un fort sentiment d’appartenance à
Quelques jours avant sa sortie en salles, le dernier long-métrage de Nabil Ayouch, «Everybody loves Touda» a fait sa première nationale, dans la cadre du Festival international du film de Marrakech (FIFM 2024). Dans son village, Touda rêve de devenir une chikha. En tant que mère, elle tient aussi à ce que son fils fasse des études. Auprès de Yabiladi, le réalisateur franco-marocain revient sur ses liens avec les chants et
Tourné par Myriam El Hajj deux ans avant l’offensive d’Israël au Liban de cette année, le documentaire «Diaries from Lebanon» devient un film de l’avant-guerre. En prenant sa caméra, la réalisatrice n’a pourtant rien prévu des bouleversements politiques que vit son pays, dans le contexte régional de la guerre d’occupation dans la bande de Gaza. Au 21e Festival international du film de Marrakech (FIFM
En compétition au 21e Festival international du film de Marrakech (FIFM 2024), le premier long-métrage de Laura Piani se regarde comme un livre qui se lit avec passion et patience à la fois. «Jane Austen a gâché ma vie» décloisonne ainsi vécu personnel, inspirations littéraires et esthétique hors du temps caractérisant un certain cinéma de genre. Rencontre avec la réalisatrice
Le Festival international du film de Marrakech (FIFM 2024) a rendu un hommage posthume à Naïma Elmcherqui, mardi, le temps d’une cérémonie spéciale chargée en émotions. Sa fille, Yasmine Khayat, a mis en avant l’attachement du public à l’artiste défunte, dont l’amour des spectateurs traduit son amour pour le cinéma.